Ashton Kutcher dans "Toy Boy"
Publié le 11 Juillet 2009
J'ai 42 ans, en couple, un enfant, je suis cinéphile depuis l'adolescence. Lubitsch, Capra, Kazan, Kubrick, De Palma, Wong Kar-Wai, Almodovar, tous les grands cinéastes du monde entier n'ont presque plus de secrets pour moi ni leurs interprètes exceptionnels.
Mais au fond de moi (enfin pas si au fond d'ailleurs) je suis restée une vraie midinette et il y a des acteurs qui me font remuer tout plein de choses à l'intérieur. Il y eu Alain Delon en son temps, voir "Plein Soleil" ou "La Piscine" restent toujours de grands moments dans ma vie de midinette qui se trémousse pour le beau mâle venu.
Un choc physique je l'avais ressenti aussi avec Olivier Martinez dans "Le Hussard sur le toit". Genre la beauté qui crève l'écran. Rupert Everett aussi dans "Another Country".
Mais voilà depuis quelques années, il y en a un qui a détrôné toutes mes amourettes de grand écran. Et je l'assume sans aucune honte aucune, il s'agit d'Ashton Kutcher. Mon fantasme par excellence, sublime avec un charme fou.

Du temps de la série qui l'a fait connaître "That 70's show" je le trouvais canon mais un peu jeune! Il ne fait pas énormément de films au cinéma (Demi Moore lui prend tout son temps, grrrrr!) mais à chaque fois c'est un plaisir immense que d'aller l'admirer sur écran géant.

Le dernier en date vient tout juste de sortir et j'y suis allée direct mercredi avec mon homme et mon meilleur ami qui bave aussi sur lui! "Toy Boy" ça s'appelle. Traduction bizarre du titre anglais "Spread". J'adore le fait qu'Ashton joue avec sa propre image et l'assume parfaitement.


Que dire? Il crève l'écran, c'est du bonheur en barres et le film n'est pas si mal. Malgré les apparences ce n'est pas une comédie mais plutôt un film assez sombre. Le réalisateur David Mackenzie porte un regard assez cruel sur l'univers des gigolos, sur ces jeunes garçons un peu paumés prêts à se renier pour avoir une vie de rêve - soi-disant -.

Nikki, le héros du film, est un séducteur né. Il arrive toujours à ses fins avec les femmes. Il rencontre une avocate richissime et plus âgée (Anne Heche) avec qui il va vivre une histoire. Il lui donne le sexe, elle l'installe dans sa maison de rêve sur les hauteurs de Los Angeles, lui paye des fringues de marque et ça tourne à peu près bien comme ça jusqu'au jour ou Nikki rencontre Heather, une jolie serveuse. On pourrait croire à une love-story à l'américaine mais non ce n'est pas aussi simple.
Une bonne surprise donc au final. De toutes façons on s'était dit que même si c'était nul ce qui comptait c'était de voir Ashton!

Et j'ai adoré faire la fan de base avec mon pote. On a blablaté 20 minutes tous les deux genre "il est trop beau, c'est du délire..." comme si on avait 15 ans! Punaise ce que ça fait du bien!! Mon homme lui a plus craqué sur les filles du film...

Mais au fond de moi (enfin pas si au fond d'ailleurs) je suis restée une vraie midinette et il y a des acteurs qui me font remuer tout plein de choses à l'intérieur. Il y eu Alain Delon en son temps, voir "Plein Soleil" ou "La Piscine" restent toujours de grands moments dans ma vie de midinette qui se trémousse pour le beau mâle venu.
Un choc physique je l'avais ressenti aussi avec Olivier Martinez dans "Le Hussard sur le toit". Genre la beauté qui crève l'écran. Rupert Everett aussi dans "Another Country".
Mais voilà depuis quelques années, il y en a un qui a détrôné toutes mes amourettes de grand écran. Et je l'assume sans aucune honte aucune, il s'agit d'Ashton Kutcher. Mon fantasme par excellence, sublime avec un charme fou.

Du temps de la série qui l'a fait connaître "That 70's show" je le trouvais canon mais un peu jeune! Il ne fait pas énormément de films au cinéma (Demi Moore lui prend tout son temps, grrrrr!) mais à chaque fois c'est un plaisir immense que d'aller l'admirer sur écran géant.

Le dernier en date vient tout juste de sortir et j'y suis allée direct mercredi avec mon homme et mon meilleur ami qui bave aussi sur lui! "Toy Boy" ça s'appelle. Traduction bizarre du titre anglais "Spread". J'adore le fait qu'Ashton joue avec sa propre image et l'assume parfaitement.


Que dire? Il crève l'écran, c'est du bonheur en barres et le film n'est pas si mal. Malgré les apparences ce n'est pas une comédie mais plutôt un film assez sombre. Le réalisateur David Mackenzie porte un regard assez cruel sur l'univers des gigolos, sur ces jeunes garçons un peu paumés prêts à se renier pour avoir une vie de rêve - soi-disant -.

Nikki, le héros du film, est un séducteur né. Il arrive toujours à ses fins avec les femmes. Il rencontre une avocate richissime et plus âgée (Anne Heche) avec qui il va vivre une histoire. Il lui donne le sexe, elle l'installe dans sa maison de rêve sur les hauteurs de Los Angeles, lui paye des fringues de marque et ça tourne à peu près bien comme ça jusqu'au jour ou Nikki rencontre Heather, une jolie serveuse. On pourrait croire à une love-story à l'américaine mais non ce n'est pas aussi simple.
Une bonne surprise donc au final. De toutes façons on s'était dit que même si c'était nul ce qui comptait c'était de voir Ashton!

Et j'ai adoré faire la fan de base avec mon pote. On a blablaté 20 minutes tous les deux genre "il est trop beau, c'est du délire..." comme si on avait 15 ans! Punaise ce que ça fait du bien!! Mon homme lui a plus craqué sur les filles du film...
