Dans les coulisses d'un week-end Age de Glace Live à Londres
Publié le 21 Novembre 2012
Il y a une quinzaine de jours j'ai été invitée à Londres pour la première mondiale de l'Age de Glace Live. Mais que s'est-il passé durant ces deux jours en dehors du spectacle dont j'ai parlé ici...
J'ai du me lever tôt ce vendredi matin pour être à l'heure de l'Eurostar mais pas aussi tôt que mes copines de voyage, Maman on bouge, Maman Bavarde et Maman Geek. Nous étions 4 blogueuses reporters de choc noyées parmi une quarantaine de journalistes de la presse écrite et audivisuelle. Arrivés à Londres, direction le métro, toujours en groupe, pour rejoindre l'hôtel Premier Inn, juste à la sortie du métro Wembley et à cinq minutes du lieu de spectacle; en savoir plus ici pour les réservations en ligne.
Première vue sur le mythique stade de Wembley dans lequel je n'ai jamais mis les pieds.
J'ai découvert cette chaîne d'hôtel Premier Inn qui ne paie pas de mine à l'extérieur mais aux chambres vraiment agréables avec plein de petits détails cool comme le café offert, le sèche-cheveux, le lit trop confortable... Un bon plan à garder pour une prochaine visite car plus on réserve tôt, moins c'est cher et il y a des chambres famille.
J'ai retrouvé les filles pour un déjeuner anglais qui nous a laissées perplexes mais le breakfast extra du lendemain matin a rattrapé le coup.
On était quand même là pour bosser un peu, donc direction la Wembley Arena pour une séance Age de Glace Live avec trois numéros en exclu avant la grosse soirée et une conférence de presse en compagnie des créateurs.
C'était chouette de pouvoir s'approcher de la scène, de prendre des photos et d'entendre les mots des concepteurs de l'histoire originale de l'Age de Glace Live. On a tous été bluffés par les personnages sur scène, tellement réalistes.
Michael Curry, créateur des personnages de l'Age de Glace Live
Retour à l'hôtel pour se préparer. J'ai tenté de suivre le dress code de la soirée "bleu" avec mes ongles faits pour l'occasion et un pantalon bleu. Deuxième trajet jusqu'à la Wembley Arena et dès l'entrée, l'accueil de Sid fut chaleureux !
A boire pour tous les invités, service parfait, ils savent recevoir les anglais. De quoi se réchauffer en attendant le début du spectacle. Avec les filles on a bien rigolé et fait les pipelettes en essayant de reconnaître les people anglais invités à la soirée. A chaque fois que les caméras et flashs étaient là, on y était aussi. Mais quelle déception quand après avoir demandé (oui je suis curieuse) j'ai appris que les gens flashés étaient des stars de la télé-réalité anglaise. Forcément pour nous, ça ne veut rien dire !
Après le spectacle, une soirée était organisée au sublime hôtel Hilton juste à côté. Buffet trop beau et trop bon, musique avec DJ, enfants déchainés sur la piste de danse, la grande classe. Journée fatigante, nous sommes des petites joueuses et nous n'avons pas trop traîné. En plus, avec la matinée shopping prévue le lendemain, on avait envie d'être en forme.
Sac shopping vendu chez Primark, j'ai regretté de ne pas l'avoir acheté...
Le train de retour pour Paris était à 14h, il a fallu optimiser le temps de shopping. Malgré des transports en travaux et un long trajet en bus assez cocasse, on était sur Bond Street vers 10h. On s'est séparées, j'avais prévu de remonter Oxford Street et me faire un grand nombre de magasins. En trois heures j'ai fait quatre boutiques et 500 mètres ! Ah frustration !
Premier arrêt chez Primark dont j'avais beaucoup entendu parler. La mode à des prix Tati ou presque mais de meilleure qualité. J'y suis restée une heure et demie tellement il y avait à voir et à faire. Vraiment contente de ma moisson, des robes pour Nina et moi entre 6 et 10£, de la lingerie, des lunettes de soleil à 50cts, un tee shirt pour mon chéri, un pull, des collants et même des bonbons Pez au coca. Du délire ce magasin, il faudra que j'y retourne mais pas un samedi !
Selfridges
John Lewis, j'ai ramené l'énorme boite à biscuit qu'on voit en haut
J'ai admiré les vitrines des grands magasins Selfridges et John Lewis, même pas eu le temps d'y aller et pris quelques photos sur Oxford. Les yeux sont tout le temps sollicités.
L'heure du retour est trop vite arrivée. Nous étions toutes KO et la chance a voulu qu'on soit dans un wagon blindé d'adolescents. Et bien, les gens qui râlent quand un bébé pleure ou deux enfants parlent un peu trop fort, je leur souhaite de faire le même voyage que nous. Des ados déchaînés avec des animateurs invisibles c'est du sport, ils hurlent, ils se lèvent en permanence et je vous dis pas l'état crade du wagon à l'arrivée à Paris !
Merci encore à Léa de Wellcom pour son invitation, cette petite parenthèse alors que je n'ai pas eu de vacances à la Toussaint a été très appréciée !